SCHÖCK

Saison 3 et 4 de la Saga vidéo Schöck

Par Schilling Communication - Agence RP  Publié le 25 jan 2023
Saison 3 et 4 de la Saga vidéo Schöck

Résumé pour les décideurs

La saga vidéo de Schöck se termine par deux saisons captivantes. Après avoir mis en lumière les limites de la construction de logements en France et l'impact économique des enveloppes non homogènes, la saison 3 s'intéresse aux conséquences sanitaires d'une mauvaise isolation. La saison 4 expose les failles de la RT 2012 et les ambitions insuffisantes de la réglementation thermique actuelle. L'objectif est de sensibiliser le public aux options de logement écoénergétiques, saines et durables afin d'éviter de futures rénovations. La série de 16 vidéos pédagogiques et ludiques met en évidence l'importance d'un traitement complet des ponts thermiques avec des disjoncteurs linéaires ou ITE, au lieu d'un traitement partiel tel que stipulé par la réglementation française. Cela pourrait réduire le coût d'exploitation des immeubles et profiter aux futurs occupants et gestionnaires d'actifs.



Dénouement de la Saga vidéo Schöck : l’homogénéité de l’enveloppe du bâti sous les projecteurs

Schöck clôture sa saga vidéo par deux dernières saisons des plus captivantes. Après avoir mis en exergue les travers (ou limites) de la construction des logements en France et les impacts économiques d’une enveloppe non homogène, ce sont aux conséquences sanitaires que Schöck dédie sa saison 3.

 

Quant à la saison 4, elle explicite, sans concession, les failles de la RT 2012 et les ambitions insuffisantes de l’actuelle réglementation thermique. Et toujours en synopsis : la volonté d’insuffler une prise de conscience collective pour un choix de logements économes, sains et durables afin que les constructions neuves ne soient pas les rénovations de demain.

Après deux saisons qui ont su rencontrer leur public (les particuliers désireux d’acquérir un logement, autant que les associations de consommateurs, organismes en conseil immobilier, fédérations ou encore institutionnels), Schöck signe le clap de fin de sa saga vidéo avec 9 épisodes.

Les 4 opus de la saison 3 mettent en scène les pathologies d’un bâtiment mal isolé, dont la condensation et les moisissures responsables notamment de nombreuses maladies respiratoires (bronchites, rhinites, asthmes, allergies). Ainsi, en référence au Livre Blanc  réalisé par le Groupe de Travail sur la Qualité de l’Enveloppe (GTQE) du Pôle Fibres-Énergivie, Schöck rappelle que selon l’OQAI (Observatoire de la qualité de l’air intérieur) 37% des logements présentent des moisissures et que le coût social de la pollution de l’air intérieur s’élève à 19 milliards d’euros par an ! Au rang des remèdes efficaces : les rupteurs de ponts thermiques linéiques entre la dalle et la façade ou la dalle et le balcon en ITI, de même que le traitement des ponts thermiques des balcons en ITE.

Enfin, les 4 épisodes de la saison 4 , auxquels se greffent un épilogue, donnent les rôles principaux à la RT2012 et la RE2020, mais à l’opposé des héros que ces réglementations souhaiteraient incarner.  

En effet, soulignant la prédilection hexagonale pour l’ITI et non l’ITE, pourtant seule garante d’une enveloppe parfaitement homogène, Schöck renvoie à la réglementation française qui stipule que seule une partie des ponts thermiques doit être traitée pour être conforme (environ 50 %). Pour un bâtiment de logements collectifs par exemple, il suffit donc de traiter en moyenne 50 % des ponts thermiques avec des rupteurs sur chaque plancher intermédiaire, ou bien traiter les ponts thermiques des premiers étages, mais pas des derniers étages du bâtiment (ou vice et versa). Seule la moyenne compte !

Ainsi, malgré sa conformité à la RT2012 ou désormais à la RE2020, une construction neuve peut comporter d’importantes fuites d’énergie au regard de ponts thermiques subsistant entre la dalle et la façade ou la dalle et le balcon. Constat décevant à l’heure où il faudrait en fait privilégier un traitement complet des ponts thermiques en ITI ou ITE. D’autant que si les coûts de construction représentent 28 %, ceux de financement 15 % et les charges foncières 11 %, la maintenance et l’utilisation grèvent à elles-seules près de la moitié du budget (46 %). D’où l’intérêt de mettre encore l’accent sur la qualité de l’enveloppe pour diminuer le coût d’exploitation du bâtiment porté par les futurs occupants du logement ou le gestionnaire du patrimoine.

En signant cette série de 16 vidéos ludiques et didactiques, Schöck a donc sensibilisé le plus grand nombre à l’importance d’une enveloppe homogène du bâti pour réaliser des économies d’énergie, augmenter le pouvoir d’achat des ménages, garantir le confort des occupants ainsi que valoriser son patrimoine immobilier.

Découvrez l’intégralité des saisons sur la chaîne YouTube Schöck France