EDWIN MAC GAW : design & aménagement intérieur
Résumé pour les décideurs
Résumé pour décideurs
Edwin Mac Gaw, né en 1971 dans une famille d'artistes, construit son parcours à la croisée de l'héritage artistique et de l'innovation technologique. Après une formation mêlant académisme et avant-garde numérique, il crée son entreprise de communication multimédia, avant de revenir à la peinture suite à des épreuves personnelles majeures.
La série "Rebirth" marque sa renaissance, avec des œuvres réalisées sur des matériaux de récupération. Cette approche mêle huiles, acryliques et techniques mixtes, explorant le contraste entre lumière et ombre. Mac Gaw s'inspire des maîtres classiques pour proposer un art ancré dans l'expérience vécue et la réinvention technique.
Foire aux questions pour décideurs
Qui est Edwin Mac Gaw et quelle est l'inspiration principale de son œuvre ?
Edwin Mac Gaw est un artiste né en 1971 dans une famille d'artistes et de philosophes. Son œuvre s'inspire à la fois de son héritage familial, de ses épreuves personnelles et de références aux grands maîtres de la peinture.
Comment Edwin Mac Gaw a-t-il développé la série "Rebirth" ?
La série "Rebirth" est née après un burn-out et le décès de sa sœur, symbolisant sa renaissance artistique. Cette série exprime la dualité entre lumière et ténèbres à travers la peinture à l'huile et l'acrylique.
Quels choix techniques et matériaux Edwin Mac Gaw privilégie-t-il dans sa création ?
Edwin Mac Gaw utilise souvent des matériaux de récupération comme le contreplaqué et l'acrylique, valorisant le symbole de transformation et d'adaptation. Il privilégie aussi une approche spontanée et minimaliste pour se concentrer sur l'essentiel de la création artistique.
Glossaire thématique pour décideurs
Peinture acrylique
Peinture composée de pigments en suspension dans une émulsion d'eau et de résines acryliques, apprécié pour son séchage rapide et sa polyvalence sur divers supports.
Contreplaqué
Panneau fabriqué à partir de fines feuilles de bois collées perpendiculairement les unes aux autres, utilisé comme support en peinture ou construction.
Animation 2D et 3D
Procédés de création d'images animées en deux ou trois dimensions, souvent assistés par ordinateur, pour produire des œuvres visuelles dynamiques.
Éloge de l'Ombre et de la Lumière.
Edwin Mac Gaw, artiste peintre, renaît après la tragédie avec sa série « Rebirth », entre clairs-obscurs et influences classiques.
L'actualité d'un artiste peintre tourmenté
L'âme d'un artiste tourmenté par les pinceaux de la destinée
Né sous les auspices d'un juillet ardant en 1971, Edwin Mac Gaw a vu le jour dans le giron d'une lignée éprise d'art. Au sein de cette famille peuplée d'aquarellistes, de sculpteurs et de philosophes, le jeune Edwin fut bercé par les muses et les échos d'un monde saturé de beauté et de réflexion. Héritier de cette riche tradition, il saisit dès l'enfance le crayon et le pinceau comme on embrasse son destin, guidé par le spectre d'un grand-père collectionneur, véritable Virgile dans cet empire des sens artistiques.
Une éducation en clair-obscur
L'odyssée de Mac Gaw dans les méandres de l'art prend racine dans les profondeurs de l'académisme et de l'avant-garde numérique. Le jeune bachelier des arts, épris de nouveauté et de technologie, s'aventura dans les arcanes de la création assistée par ordinateur, frôlant les premières lueurs de l'animation 2D et 3D. Ces années de labeur et de création le virent fonder son empire de communication multimédia, avant que le sort ne le rappelle aux afflictions plus intimes de la toile et du chevalet.
Tragédie et renaissance
Les afflictions de la vie, telles des ombres passagères, ramenèrent Edwin à ses premiers amours artistiques après un burn-out et le deuil déchirant de sa sœur. Tel un phénix, il renaît à travers ses toiles, explorant avec une vigueur renouvelée les abysses de la peinture à l'huile et de l'acrylique. La série « Rebirth » voit le jour comme un cri silencieux, témoignant de la lutte incessante entre la lumière et les ténèbres, entre la vie et l'art.
Une toile de fond intemporelle
Dans cette quête incessante de vérité et de beauté, Mac Gaw s'arme des grands maîtres qui l'ont précédé. Gustave Moreau, Turner, Le Caravage et Rembrandt, tous murmurent à travers les brumes de ses tableaux, éclairant sa palette de leurs clairs-obscurs, de leurs tourments et de leurs révélations. Chaque œuvre est un champ de bataille où se rencontrent le passé et le présent, le traditionnel et le moderne, le tangible et l'impalpable.
Un chemin pavé de lumière
Dans le sanctuaire de son atelier, Mac Gaw continue de forger les visions de son monde intérieur, là où la douleur forge le sublime, là où l'ombre engendre inéluctablement la lumière. Son parcours est celui d'un errant éternel sur les sentiers de la création, un pèlerinage sans fin vers l'absolu artistique, où chaque toile est un autel, chaque couleur une prière.
Sur la genèse de la série, l’artiste disait ceci :
« J’ai fait un rêve, en 2018, d’une bestiole blanchâtre, presque translucide, à l’instar de ses yeux sans expression. Des dents partout, des filaments volant au gré des soubresauts de la bête. Je la tiens fermement entre mes mains, je ne la lâche pas, bien qu’effrayé. Je ne l’ai plus lâchée pendant 18 mois. C’était un bébé qui a grandi et pris son envol, s’est affranchi, un peu comme son créateur en fait… »
Sur le processus de création et les choix techniques, Edwin en explique les fondements :
« Quand j’ai eu besoin de peindre le premier dragon (qui est en réalité le numéro 3 de la série), j’avais une image très précise en tête. J’étais en vacances et loin de mon atelier, des huiles que j’utilisais jusque-là, des toiles, des pinceaux fine art. Il fallait trouver de quoi projeter cette vision et vite. Dans le chai familial traînaient des chutes de planches en contreplaqué, en aggloméré également. Quelques vieux pots de peinture acrylique, un de glycéro (!), vestiges de périodes de créations antérieures. Des pinceaux de chantier, 1 rouleau « patte de lapin », 5 pots, un noir, un blanc et les couleurs primaires et c’est tout… Le retour aux fondamentaux en quelque sorte !
Quand on a soif de créer, on ne s’embarrasse pas du superflu, on y va et on verra bien. Je me suis régalé de cette précarité matérielle, elle m’a conduit à développer une autre manière de peindre. Moi qui détestais l’acrylique auparavant, parce qu’elle séchait quasi instantanément, j’y ai vu un formidable avantage en terme de densité, de matière et surtout de la multiplicité de couches de glacis qui collent parfaitement à l’environnement de la thématique : l’eau.
D’un point de vue symbolique, le fait de recourir à des matériaux de récupération, voués à la destruction, s’est révélé en adéquation parfaite avec mon vécu. D’un support « non noble », sur lequel vient se poser le récit d’un homme brisé, une oeuvre apparaît et vient faire écho avec l’origine du matériau : nous n’avons de valeur que celle que nous accordons aux choses, aux autres et à soi-même. La quête d’une vie humaine en somme… »
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